S.K. TREMAYNE
Nationalité : Royaume-Uni
Né(e) à : Devon, Angleterre , 1963
S. K. Tremayne est un des pseudonymes de l'écrivain et journaliste Sean Thomas, qui utilise également celui de Tom Knox pour certains de ses ouvrages.
Il a étudié la philosophie à Londres et se tourne ensuite vers le journalisme, rédige des articles pour le Times, le Daily Mail, le Sunday Times, et le Guardian.
Comme son père, l'auteur D. M. Thomas, il se passionne également pour la littérature, et publie plusieurs romans, se spécialisant pour les thrillers (souvent imprégnés des thèmes de l'archéologie ou de la religion).
Il commence par publier plusieurs romans sous son véritable nom, avant d'adopter à partir de 2009 le pseudonyme Tom Knox, puis en 2015 celui de S. K. Tremayne pour son roman "Le doute" ("The ice twins" en anglais).
Il vit actuellement à Camden, à Londres.
Nationalité : Royaume-Uni
Né(e) à : Devon, Angleterre , 1963
S. K. Tremayne est un des pseudonymes de l'écrivain et journaliste Sean Thomas, qui utilise également celui de Tom Knox pour certains de ses ouvrages.
Il a étudié la philosophie à Londres et se tourne ensuite vers le journalisme, rédige des articles pour le Times, le Daily Mail, le Sunday Times, et le Guardian.
Comme son père, l'auteur D. M. Thomas, il se passionne également pour la littérature, et publie plusieurs romans, se spécialisant pour les thrillers (souvent imprégnés des thèmes de l'archéologie ou de la religion).
Il commence par publier plusieurs romans sous son véritable nom, avant d'adopter à partir de 2009 le pseudonyme Tom Knox, puis en 2015 celui de S. K. Tremayne pour son roman "Le doute" ("The ice twins" en anglais).
Il vit actuellement à Camden, à Londres.
RESUME
Un an après le décès
accidentel de Lydia, l'une de leurs filles jumelles, Angus et Sarah Moorcroft
décident de tout recommencer en changeant d'environnement. Ils rejoignent alors
une petite île écossaise qu'ils ont héritée de la grand-mère d'Angus.
Mais l'emménagement ne se passe pas aussi bien que prévu ; Kirstie, leur fille survivante, se met à affirmer qu'elle est en réalité Lydia. Alors qu'un brouillard glacial enveloppe l'île, l'angoisse va grandissant…
Que s'est-il vraiment passé en ce jour fatidique où l'une des deux sœurs a trouvé la mort ?
Mais l'emménagement ne se passe pas aussi bien que prévu ; Kirstie, leur fille survivante, se met à affirmer qu'elle est en réalité Lydia. Alors qu'un brouillard glacial enveloppe l'île, l'angoisse va grandissant…
Que s'est-il vraiment passé en ce jour fatidique où l'une des deux sœurs a trouvé la mort ?
PAULA HAWKINS LA FILLE DU TRAIN
Hawkins est née et a grandi à Harare au Zimbabwe. Son
père était un professeur d'économie et journaliste pour la finance. Sa famille
déménage à Londres en 1989 alors qu'elle a 17 ans3. Elle
étudie la philosophie, la politique et l'économie à l'université d'Oxford. Elle écrit des articles sur les
affaires pour The Times,
tout en écrivant plusieurs articles en indépendant et écrit un livre de conseil
financier pour les femmes, The
Money Goddess2.
Vers 2009, Hawkins commence sa
carrière de romancière en écrivant des fictions romantiques sous le pseudonyme
d’Amy Silver. Elle rencontre le succès commercial en abandonnant le ton
comique de ses premières nouvelles pour un style plus sombre et sérieux :
dans La Fille du train de 2015, un thriller abordant la violence domestique et
l'alcoolisme féminin2. Hawkins
a écrit le livre en six mois, alors qu'elle était dans une situation financière
difficile1.
Elle vit désormais dans le Sud de
Londres.
Résumé :
Depuis la banlieue où elle habite, Rachel prend le train deux fois par jour
pour aller et revenir de Londres. Chaque jour elle est assise à la même place
et chaque jour elle observe une jolie maison. Cette maison, elle la connaît par
coeur, elle a même donné un nom à ses occupants qu'elle aperçoit derrière la
vitre : Jason et Jess. Un couple qu'elle imagine parfait, heureux, comme Rachel
a pu l'être par le passé avec son mari, avant qu'il ne la trompe, avant qu'il
ne la quitte.
Mais un matin, elle découvre un autre homme que Jason à la fenêtre. Que se passe-t-il ? Jess tromperait-elle son mari ? Quelques jours plus tard, c'est avec stupeur qu'elle découvre la photo de Jess à la une des journaux. La jeune femme, de son vrai nom Megan Hipwell, a mystérieusement disparu...
Adaptation cinématographique (sortie : 26 Octobre 2016) , de Tate Taylor, avec : Emily Blunt, Haley Bennett, Justin Théroux, Luke Ewans, Rebecca Fergusson .
Mais un matin, elle découvre un autre homme que Jason à la fenêtre. Que se passe-t-il ? Jess tromperait-elle son mari ? Quelques jours plus tard, c'est avec stupeur qu'elle découvre la photo de Jess à la une des journaux. La jeune femme, de son vrai nom Megan Hipwell, a mystérieusement disparu...
Adaptation cinématographique (sortie : 26 Octobre 2016) , de Tate Taylor, avec : Emily Blunt, Haley Bennett, Justin Théroux, Luke Ewans, Rebecca Fergusson .
Liliana Lazar Les enfants du diable
Éditeur : EDITIONS DU SEUIL (2016)
Résumé :
Prigor, début des années 1980, un village isolé du nord de la Roumanie. C'est
l'endroit que choisit une sage-femme pour s'installer avec son petit garçon de
six ans. Disgracieuse, un physique robuste de paysanne, Elena Cosma est la
nouvelle responsable du dispensaire. Mais qui est cet enfant à la beauté si
singulière que la mère ne laisse jamais seul ? Les rumeurs les plus folles
courent sur lui. Elena s'acquitte sans trop d'états d'âme de sa mission
consistant à mettre en oeuvre la politique nataliste de Ceausescu. Depuis que
la contraception et l'avortement sont interdits, les abandons d'enfants se
multiplient. Surnommés « enfants du diable », on les interne dans des
orphelinats pareils à celui qui vient de se créer à Prigor, dans les murs de
l'ancienne prison royale. Parmi les pensionnaires, des orphelins du village. Un
d'entre eux connaît le secret d'Elena.
Liliana Lazar a grandi dans une forêt du nord de la Roumanie où son père
était garde forestier. Après la chute de Ceausescu, elle s'installe en France.
Si son imaginaire est roumain, sa langue d'écriture est le français. Son
premier roman, Terre des affranchis (Gaïa, 2009), a été récompensé par une
dizaine de prix, dont le prix des cinq continents de la Francophonie.
Inspiré par un fait divers récent, le meurtre d'une enfant de huit ans par
ses parents, La maladroite recompose par la fiction les monologues des témoins
impuissants de son martyre, membres de la famille, enseignants, médecins, services
sociaux, gendarmes? Un premier roman d'une lecture bouleversante, interrogeant
les responsabilités de chacun dans ces tragédies de la maltraitance
Le premier roman d'Alexandre Seurat, enseignant à l'IUT d'Angers-Cholet, sort en librairie le 19 août. Inspiré d'un fait-divers récent (une fillette maltraitée passée entre les mailles du filet de la protection de l'enfance), « La Maladroite » donne la parole à ceux qui auraient pu éviter une issue fatale. Poignant.
C'est l'histoire d'un choc. En juin 2012, Alexandre Seurat, alors
enseignant à Créteil, parcourt les journaux sur son smartphone. « Je suis un gros consommateur d'actualités, dont je me sers
dans mes cours ». Le trentenaire tombe sur un compte-rendu du procès de
« l'affaire Marina »,
morte sous les coups de ses parents, à l'âge de 8 ans, après presque autant
d'années de sévices. Un choc à la tête. « J'ai été
complètement saisi par le sujet. Le premier texte que j'ai lu concernait le
frère aîné. Son témoignage m'a bouleversé, parce que c'était celui d'un otage,
à la fois témoin, victime, complice de la mise en scène finale de ses parents
qui ont fait croire à l'enlèvement de leur fille. Mais il ne pouvait rien
faire... »
C'était une manière de réagir à un
choc. J'avais vraiment été heurté ». « Je
ne voulais pas donner un aperçu des violences, mais raconter l'histoire des
témoins, de leur impuissance et, du coup, de leur culpabilité. Il n'y a pas de
jugement ; même si personnellement, je ressens une indignation. Ce n'est pas un
roman engagé sur la maltraitance. Je voulais simplement révéler un processus,
cet enchaînement spectaculaire, terrifiant de circonstances qui aboutit à une
issue tragique, alors qu'on aurait pu l'éviter ».
« J'aurais
voulu appeler quelqu'un, mais je ne savais pas qui, je ne bougeais pas, concède
l'institutrice dès les premières pages. Je sais que tout est déjà trop tard
pour elle, elle me regarde, et je ne peux rien faire, et je voudrais qu'elle me
pardonne ».
L’EPOUSE HOLLANDAISE de Eric McCormack
C’est l’histoire d’une femme Rachel, qui a partagé sa vie
avec deux hommes. Le premier est parti en voyage et n'est jamais revenu.
Lorsqu’un jour elle reçoit un courrier qui indique le retour de celui-ci Rachel
accepte sans se poser de question de lui ouvrir sa porte en restant
déterminée qu’il était son mari.
Vrai ou faux ?
Qui est le second ? Et qu'est-il arrivé au premier ? Ils
portent le même nom Rowland Vanderlinden ?
L’auteur décrit le passé de ces deux hommes autour
d’aventures extraordinaires et imaginaires, il nous fait voyager sur une île
pacifique et au Tibet.
Elle aura un enfant Thomas avec le
deuxième homme qui sur son lit de mort révèlera qui est le vrai mari.